Les mondialistes : d’hier à aujourd’hui

Pierre Hillard, MetaTV-Exégèse du mondialisme - YouTube

En naviguant ici ou là sur Internet, je remarque qu’il y a beaucoup de confusion quand on parle des mondialistes. Je pense qu’il est nécessaire d’expliquer un peu de quoi il s’agit. Je vais le faire parce que c’est très important de comprendre qui ils sont et également leurs buts. Ainsi, on comprend réellement pourquoi il faut les arrêter.

Les origines

À l’origine, les mondialistes sont des élitistes qui pensent que le Monde libre et les nations sont une horreur et la cause de toutes les guerres. Selon eux, il faut donc un pouvoir centralisé pour diriger l’Humanité dans la « bonne direction ». L’Union européenne était un test pour préparer le gouvernement mondial. Et quand on voit la corruption et l’énorme bureaucratie qui caractérisent l’Union européenne, ça donne un avant-goût amer.

Dans le centre des visiteurs du Parlement européen, il est affiché ceci : « …la souveraineté nationale est la racine de tous les pires maux de notre époque et la marche continue de l’Humanité vers le désastre tragique et le barbarisme. Le seul remède final pour ce suprême et catastrophique mal de notre temps est l’union fédérale des peuples. »

Le ton est donc donné. L’idée centrale des mondialistes est que le nationalisme est le mal incarné et qu’un gouvernement mondial réglerait tous les problèmes. Quand on parle des mondialistes, il s’agit principalement de l’ONU, d’idéologues et de milliardaires qui appuient l’idée d’un gouvernement mondial. Dès les années 1970, le Club de Rome a réfléchi à cette idée et ça a culminé plusieurs années plus tard en un livre qui s’appelait « The First Global Revolution ».

En voici un extrait.

« Peut-on vivre sans ennemi? Chaque État a été tellement habitué à classer ses voisins comme amis ou ennemis que l’absence soudaine d’adversaires traditionnels a laissé les gouvernements et l’opinion publique avec un grand vide à combler. De nouveaux ennemis doivent être identifiés, de nouvelles stratégies imaginées et de nouvelles armes mises au point. Les nouveaux ennemis sont différents dans leur nature et leur positionnement, mais ils ne sont pas moins réels. Ils menacent la race humaine tout entière et leurs noms sont la pollution, la pénurie d’eau, la famine, la malnutrition, l’analphabétisme et le chômage. Cependant, il semble que la sensibilisation des nouveaux ennemis soit encore insuffisante pour réaliser la cohésion et la solidarité mondiale dans cette lutte. L’échec de nombreuses idéologies a supprimé certains des points de référence nécessaires. »

Bref, on voit déjà apparaître tout un florilège de bonnes intentions, de beaux mots et de beaux concepts. Voici d’autres extraits de ce livre.

« Dans la recherche d’un ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, nous sommes arrivés avec l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et autres feraient l’affaire. Dans leur totalité […], ces phénomènes constituent une menace commune qui doit être confrontée à tout le monde ensemble. Mais en désignant ces dangers comme étant des ennemis, nous tombons dans le piège dont nous avons déjà mis en garde les lecteurs, à savoir la confusion entre les symptômes et les causes. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine dans les processus naturels et ce n’est qu’à travers un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi, alors, c’est l’Humanité elle-même. »

« Il semblerait que les humains ont besoin d’une motivation commune, à savoir un adversaire commun, pour s’organiser et agir ensemble dans le vide. Une telle motivation doit être trouvée pour mettre les nations divisées face à un ennemi extérieur, soit un ennemi réel ou alors un ennemi inventé à cet effet. »

À la recherche d’un ennemi commun

Pendant des années, ils ont cherché un ennemi commun pour tenter d’unir l’Humanité. Au tout début de leur réflexion, ils ont tenté d’utiliser la surpopulation et le manque de nourriture causé par un refroidissement climatique en disant qu’il n’y aurait bientôt plus assez de nourriture pour nourrir toute l’Humanité. Bien évidemment, leur solution était de donner tous les pouvoirs à l’État pour qu’il puisse sauver l’Humanité. Ils ont utilisé les écrits de Paul R. Ehrlich, un partisan de la réduction de la population, dans son livre qui s’appelle « The Population Bomb » et qui est sorti en 1968.

La première ligne du livre parle d’elle-même.

« La bataille pour nourrir toute l’Humanité est terminée. Dans les années 1970, des centaines de millions de personnes mourront de faim, malgré tous les programmes d’urgence actuellement lancés. »

Voici ce qu’on peut lire plus loin dans ce livre.

« Un cancer est la multiplication non-contrôlée des cellules. L’explosion de la population est la multiplication non-contrôlée des gens. On doit mettre nos efforts à traiter les symptômes et à extraire le cancer. »

« En 1985, il y aura eu assez de morts pour réduire la population de la Terre à un niveau acceptable, comme 1,5 milliard. »

Une de ses « solutions » était ceci : « L’addition de stérilisant temporaire dans la nourriture de base ou l’approvisionnement en eau, avec une distribution d’antidote chimiques [pour avoir des enfants], peut-être par loterie. »

Ici, vous avez un extrait de l’Owosso Argus-Press du 26 janvier 1970.

Il est évident que de telles mesures ne peuvent pas être appliquées dans une société libre et démocratique mais uniquement dans une dictature.

L’Agenda 21

Quand le climat a commencé à se réchauffer au milieu des années 1980, menaçant ainsi les écosystèmes, les mondialistes ont changé leur plan. Ils ont vu qu’ils pouvaient tourner cette situation catastrophique à leur avantage. Lisez un peu sur Maurice Strong, le père des Accords de Kyoto. Selon la journaliste de la CBC Ann-Marie McDonald, cet homme était « un croisement entre Raspoutine et Machiavel ». Bref, les mondialistes ont donc commencé à s’investir dans les conférences internationales pour le climat, et ce, dès le Sommet de Rio de Janeiro en 1992. C’est là qu’ils ont commencé à établir leur plan pour dominer l’Humanité et ils l’ont baptisé « Agenda 21 » (pour désigner le XXIe siècle).

Ils clament que l’Agenda 21 est pour « sauver la planète » et ils utilisent à outrance des termes comme le « développement durable » pour endormir les moutons. Mais quand on lit de plus près, cet agenda est un plan pour établir un contrôle total de la vie des gens et pour abolir la propriété privée. Donc, c’est clairement un projet pour établir une dictature communiste mondiale sous le couvert de « sauver la planète ». Et 178 pays ont signé l’Agenda 21.

L’Agenda 2030

Puis, ils ont renommé l’Agenda 21 en « Agenda 2030 » parce qu’ils ont choisi la date. Ils ont prévu instaurer leur plan en 2030. Pour le vendre, ils ont continué avec le même contenu que l’Agenda 21 sous le couvert de « sauver la planète » et de « développement durable », tout en y ajoutant la « justice sociale », « l’équité » et d’autres termes à la mode mais qui sont tous autant vides de sens. Leur plan est toujours le même : imposer un gouvernement mondial non-élu qui va diriger le monde de façon totalitaire. C’est une nouvelle version du communisme d’où on ne pourra plus s’échapper vers un pays libre, parce qu’il n’y en aura plus. C’est un monde où les gens seront « égaux » dans la pauvreté et la misère, où ils ne seront plus libres, où la surveillance de masse sera omniprésente et où la propriété privée n’existera plus (sauf bien sûr pour les « élites » comme dans tous les systèmes communistes).

Dans les années précédentes, les politiciens et les activistes qui ont embarqués dans cette idéologie commençaient déjà à dire en 2018 qu’il restait « douze ans pour sauver la planète ».

2018 + 12 = 2030

Il y a quelques jours, Joe Biden a dit qu’il restait « neuf ans pour sauver la planète ».

2021 + 9 = 2030

Il n’y a aucune raison derrière ces chiffres, autre que d’aboutir à l’année 2030. C’est la preuve ultime qu’ils n’en ont rien à cirer de l’environnement. Pour eux, c’est une business pour mettre en place leur pouvoir.

Le coronavirus de Wuhan

Puis, le coronavirus de Wuhan est tombé du ciel. Quoiqu’en dise les médias menteurs et imposteurs, l’hypothèse la plus probable est que ce virus s’est échappé accidentellement du laboratoire P4 de Wuhan en Chine. Voici le nouvel ennemi commun, la crise tant attendue par les mondialistes pour leur permettre d’accélérer la mise en place de leur agenda. La crise pourtant bien réelle du réchauffement climatique ne faisait plus assez peur aux gens pour qu’ils renoncent à leurs libertés et qu’ils acceptent la dictature mondiale. Les gens étaient prêts à faire des sacrifices, mais pas ces sacrifices-là.

Or, les gens ont tellement eu peur du virus que les mondialistes ont pu faire tout ce qu’ils voulaient et les gens apeurés acceptaient tout sans rien dire. Même si après la peur initiale (et très compréhensible) de mars-avril 2020, il a été démontré que le virus n’était pas si mortel que ça, ils ont continué à imposer des mesures de contrôle de plus en plus radicales. Les gouvernements infiltrés par les mondialistes, ou même (dans certains cas) des marionnettes placées là par les forces mondialistes (Macron, Trudeau, Biden, Merkel), ont appliqué le plan à la lettre.

1) Soumettre la population avec la peur, notamment en utilisant des tests PCR bidons à 45 cycles ;

2) Causer la destruction économique, notamment par la fermeture forcée des petits commerces, les faillites et l’endettement massif ;

3) Diviser la population pour faire diversion, notamment en traitant ceux qui critiquent les mesures de « conspirationnistes » ;

4) Imposer les masques inutiles qui servent à distinguer les soumis des récalcitrants ;

5) Imposer la vaccination forcée et le passeport sanitaire, permettant ainsi de soumettre totalement le peuple et la possibilité d’injecter autre chose dans le futur.

Rappelez-vous de la « solution » de Paul R. Ehrlich que j’ai cité plus haut, soit un agent stérilisant dans la nourriture ou l’eau.

Et Bill Gates, un autre mondialiste adepte de la réduction de la population, a déjà dit ceci : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Cela s’élève à environ neuf milliards. Maintenant, si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous pourrions réduire ce chiffre de 10% ou peut-être même 15%. »

Beaucoup de médecins et de scientifiques ont soulevé des doutes sur les nouveaux « vaccins » à ARN messager qui n’ont pas été suffisamment testés et qui ont le potentiel de causer beaucoup de problèmes. Disons que si par « pur hasard », ces « vaccins » causaient des problèmes de fertilité, ça ferait l’affaire des mondialistes qui veulent dépeupler la planète. Il n’y a pas de tests sur les répercussions à long terme comme la fertilité ou la possibilité de transférer des modifications à votre descendance sans modifier votre ADN.

Le « Grand Reset »

Une fois que la destruction économique sera complète et que les gens seront en faillite et désespérés, les mondialistes vont arriver avec la solution magique : le « Grand Reset », ou la « grande réinitialisation ». Cette solution poussée par le Forum économique mondial et son fondateur Klaus Schwab dans son livre qui s’appelle « COVID-19 : The Great Reset » est en réalité le point de rupture. C’est la « switch » vers l’Agenda 2030.

L’État va racheter vos dettes et vous donner un revenu minimum garanti (je reviendrai sur ce point dans un prochain article). En échange, vous n’aurez plus de libertés, ni de propriété privée. Vous n’aurez plus de maison et plus de voiture.

« You will own nothing and be happy », comme ils disent.

L’État s’occupe de vous comme un fermier s’occupe de son bétail.

Ils essaient de nous vendre ça comme un « capitalisme réinventé ». Les compagnies ne seront plus là pour faire des profits mais pour servir les groupes d’intérêts et elles devront respecter les règles gouvernementales au niveau environnemental et idéologique (comme les stupides quotas de race ou d’orientation sexuelle). Sinon, elles pourraient être pénalisées et/ou forcées à fermer. Bref, les compagnies ne décideraient plus de leur gestion interne. Il n’y aurait que du trafic d’influence et des traitements de faveur entre l’État et les grandes corporations comme les GAFAM qui soutiennent ce plan. Les petites compagnies vont disparaitre. D’ailleurs, c’était déjà commencé avec les faillites forcées des PME pendant que les grosses corporations restaient ouvertes.

Puis, ils vont dire qu’il n’y a plus de frontières et que tout le monde peut aller là où bon lui semble. Donc, les pauvres des pays du tiers-monde vont se ruer vers les pays riches, les détruisant de l’intérieur et détruisant en même temps le concept même de nation que les mondialistes détestent tant. Ils y ont déjà travaillé activement avec la crise des réfugiés syriens en Europe en 2015, les caravanes de faux réfugiés aux États-Unis en 2017-2018-2019 et les « réfugiés climatiques ».

Pour ce faire et pour faciliter la réalisation de ce point, les mondialistes ont formé une sorte d’alliance ou (si vous préférez) de triumvirat avec les intersectionnels et l’Islam radical. Ils ont vu que ces gens pouvaient et voulaient leur servir à quelque chose. Comme je l’ai déjà expliqué (ici et ici), ils sont tous les trois des compagnons de route de par leurs attaques contre les peuples, l’unicité, la laïcité et la matrice judéo-chrétienne de l’Occident, notamment en crachant sur Israël et en encensant les terroristes tueurs de Juifs. Ce triumvirat forme ce que Charles Gave appelle « les hommes des bateaux » et ce que personnellement j’appelle la mafia planétaire.

Outre le triumvirat mondialisme-intersectionnels-Islam radical, la mafia planétaire comprend les milices « antifas », les mercenaires de la « cancel culture » et le mouvement Black Lives Matter afin de casser les peuples sur les plans culturel et identitaire. C’est pourquoi le patriotisme est et a toujours été la clé pour combattre la mafia planétaire, surtout depuis que le multiculturalisme, le tiers-mondisme et le sans-frontiérisme (qui étaient les principaux adversaires des identités nationales) ont intégré le triumvirat mondialisme-intersectionnels-Islam radical.

Ensuite, les mondialistes vont arriver avec la monnaie virtuelle mondiale contrôlée par le gouvernement. Ce sera une façon parfaite de contrôler en détail la moindre transaction. Comme ils le font en Chine avec le système de crédit social, ce sera aussi un bon moyen pour pouvoir bloquer une transaction ou même de vous retirer le droit d’acheter si vous n’êtes pas un « bon citoyen » (par exemple, si vous critiquez le gouvernement). Ce sera la fin des transactions anonymes et de l’argent en papier (en disant qu’il propage le virus) et des crypto-monnaies non-contrôlées qui seront rendues illégales. Ils vont dire qu’elles sont utilisées par des criminels et que si vous n’avez rien à cacher, vous n’avez rien à craindre que le gouvernement suive chacune de vos transactions. Ce sera la mise en place d’une civilisation de la honte en Occident et la fin de notre civilisation de la culpabilité. J’ai déjà distingué ces deux types de civilisations ici, ici et ici. Par ce fait, la Chine deviendra la première puissance mondiale.

Finalement, ils vont détruire totalement le concept de nations. Ils ont prévu diviser le monde en dix régions. C’était déjà prévu depuis le Club de Rome en 1973. Cette carte du monde est extraite d’un rapport de l’ONU.

Un peuple hétérogène, sans nation, sans valeur commune, sans tradition commune et sans religion commune ne peut pas s’unir pour se rebeller.

Il suffit de regarder ce qui se passe depuis quelques années et comment est gérée la crise actuelle pour voir comment nos politiciens et les médias complices appliquent le plan à la lettre. Ils ne s’en cachent même plus.

1) Les politiciens utilisent tous le même slogan : « nouveau monde », « nouvelle économie » (en gros : « Build Back Better », comme ils disent) ;

2) Les médias qui, en novembre, disaient que le « Grand Reset » était une théorie du complot idiote ont commencé à faire la propagande de ce projet en décrivant comment tout va être parfait, le paradis sur Terre ;

3) Le plan du « Grand Reset » est disponible publiquement sur le site du Forum économique mondial et ici, vous avez un lien archivé car la première version a été retirée depuis le temps parce qu’elle n’a pas été très bien reçue ;

4) Ils ont même préparé des vidéos de propagande qui n’ont pas été très bien reçues elles non plus et qui ont rapidement été retirées comme celle-ci (voici le lien archivé du tweet dans lequel apparaissait cette vidéo en 2016) ;

5) Le plan de l’Agenda 2030 est disponible sur le site de l’ONU.

Il faut juste prendre le temps de lire entre les lignes et de passer par-dessus les belles paroles vides de sens pour comprendre que c’est une réelle dictature communiste.

Voici une vidéo de propagande de l’Agenda 2030, qu’ils appellent maintenant « Sustainable Development Goals ».

Et vous remarquerez que tous les politiciens et tous les activistes qui appuient cet agenda portent tous fièrement l’épinglette de l’Agenda 2030. Pensons seulement à Horacio Arruda.

Le dernier obstacle

Donald Trump était le plus grand obstacle au plan des mondialistes. Il était un patriote et un nationaliste qui aimait véritablement son pays et qui était porté par les idées des Pères-fondateurs des États-Unis. Les mondialistes ont passé quatre ans à essayer de le détruire afin de le tasser. Pour ce faire, ils ont utilisé les milices « antifas », les émeutes de Black Lives Matter et les mercenaires de la « cancel culture ». Les médias l’ont traité comme un idiot, un raciste et un fasciste, alors qu’il est tout à fait l’opposé de ça. Ils devaient écarter celui qui s’opposait à leur agenda. Alors, ils ont dû tricher massivement à l’élection présidentielle pour réussir et ainsi placer une marionnette docile à sa place, en l’occurrence Joe Biden.

S’ils réussissent à soumettre les États-Unis, ils vont soumettre la planète entière. C’est pour ca que cette élection était si importante. Si le peuple américain ne parvient pas à retirer très vite du pouvoir ce président illégitime, c’est vraiment la fin des États-Unis tels qu’on les connaît depuis leur indépendance en 1776, à savoir le dernier rempart de la liberté.

Toutes les pièces du casse-tête sont en place

Le coronavirus de Wuhan est une crise dont les mondialistes avaient besoin pour justifier leur plan. Il n’en tient qu’à nous de résister ou alors de devenir les nouveaux serfs, une classe de paysans sans droit, sans propriété privée et sans liberté au service des nouveaux maîtres : les « élites » et les méga-corporations.

C’est certain que ce n’est pas un combat facile. Une bonne partie de la population est brainwashée à accepter ça comme étant une bonne idée. D’autres personnes sont totalement apeurées par le virus qu’elles ne réfléchissent plus, alors que ce virus n’est pourtant pas beaucoup plus mortel qu’une grippe. D’autres personnes seront désespérées et prêtes à accepter cette dictature parce qu’elles seront à court d’options et au bord de la ruine. D’autres personnes auront simplement peur de passer pour des « conspirationnistes » et vont se soumettre. Plusieurs résistants vont finir par céder, n’ayant pas le choix de plier sous la menace de perdre leur revenu ou ne pouvant plus sortir de chez-eux sans le passeport sanitaire.

Moi, j’ai choisi mon camp, quitte à en payer le prix. J’ai choisi d’être du bon côté de l’Histoire et d’avoir la conscience tranquille. J’ai toujours méprisé les élitistes, ceux qui pensent mieux que le peuple ce qui est bon pour lui ou (pour le dire comme René Lévesque) ceux qui disent aimer le peuple mais qui méprisent tout ce que le peuple aime. J’ai toujours préféré me tenir avec des gens simples qui ont les deux pieds sur terre. J’ai toujours pensé qu’on avait une meilleure vision d’ensemble de la vraie vie en côtoyant les gens ordinaires qu’en côtoyant les élitistes. C’est ce que m’ont appris mes maîtres à penser : Pierre Falardeau et Michel Chartrand. Je crois que n’importe quel véritable humaniste doit se tenir debout aux côtés de ceux qui souffrent et aux côtés du peuple opprimé.

Toute ma vie je me suis battu pour les gens qui souffrent et pour le peuple opprimé. Toute ma vie je me suis battu (notamment) pour la liberté des peuples, la liberté des individus, l’égalité des chances dans ce monde perfide et cruel, la justice et la démocratie. Malheureusement, je constate que toutes les valeurs qui m’animent, qui ont forgé ce que je suis et qui ont narré ma vie sont sérieusement menacées comme je ne l’aurais jamais imaginé. Tout ce que j’ai pu découvrir depuis cet automne dépasse l’entendement. Ça dépasse et de très loin tout ce que j’aurais pu prévoir, même si j’essaie, au mieux de mes compétences et de mes capacités intellectuelles, d’apporter un peu de lumière, d’expliquer ce qui se joue et de proposer des réponses. Mais avant tout, il faudra se battre. L’Humanité devra se battre comme jamais elle ne s’est battue auparavant afin de sauver tout ce qu’elle a accompli depuis sa naissance.

Dans ce combat, les médias seront les ennemis du peuple et ils ont déjà commencé leur campagne de dénigrement et de diabolisation des « conspirationnistes ». Les GAFAM comme Facebook, Twitter et Youtube sont encore pires avec leur biais et leur censure.

Mais si on laisse passer ça, il n’y a plus de retour possible en-arrière. Si le peuple au complet ne se lève pas, c’est presque sans espoir. C’est le dernier des combats : le peuple contre les mondialistes, « l’élite » auto-proclamée qui veut vous contrôler.

C’est ce que j’avais à dire pour aujourd’hui. Je reviendrai plus en détails dans de prochains articles sur des points du « Grand Reset » comme le droit de possession, le droit de propriété et le revenu minimum garanti. En attendant, gardez le sourire malgré tout.

Je regrette de ne pas écrire des articles un peu plus joyeux. Je le voudrais car je suis un optimiste de nature. Mais, je crois qu’il faut demeurer lucide sur ce qui se déroule actuellement. Et je ne vois pas comment nous pouvons être joyeux dans de telles circonstances. Au contraire, nous avons toutes les raisons du monde d’être très inquiets pour l’avenir de notre monde.

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