Les « experts » et les prédictions (2e partie)

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Dans mon article précédent (que je vous recommande de lire avant d’aller plus loin si ce n’est pas déjà fait), je disais que plus que jamais, nous sommes dans une stratégie de diviser la population pour monter l’opinion publique contre la partie qui s’oppose au gouvernement. Mais si on était vraiment tous des « idiots conspirationnistes », pourquoi a-t-on raison plus souvent que les médias, les « experts » et les gouvernements? J’ai donné plusieurs exemples détaillés pour illustrer mon point. Je continue aujourd’hui avec d’autres exemples détaillés.

Le passeport sanitaire

Cet été, des lanceurs d’alerte ont averti les gens que les gouvernements arriveraient bientôt avec un passeport sanitaire. En gros, il s’agit d’un certificat de vaccination qui indique si vous avez été vaccinés ou non. Sinon, vous ne rentrez pas au cinéma (par exemple). Si le certificat indique que vous n’êtes pas vaccinés, l’accès à certains commerces peut vous être interdit, vos déplacements peuvent être restreints et vous risquez de ne plus avoir le droit de voyager ni même de travailler. Et bien sûr, les gens qui refuseraient ce certificat de vaccination seraient confinés dans leur maison. Il s’agirait ni plus ni moins d’une forme d’emprisonnement où la seule option pour sortir sera d’accepter le vaccin et de se soumettre à la dictature sanitaire.

Quand ces lanceurs d’alerte mettaient les gens en garde contre l’arrivée prochaine d’un tel document, ils se faisaient traiter de « conspirationnistes ». Maintenant, les médias et les politiciens en parlent ouvertement. Et avec d’autres compagnies, Bill Gates est en train de fabriquer un passeport sanitaire numérique. Je dirais que ça n’a rien de rassurant.

Bill Gates

Parlant de Bill Gates justement, dès qu’on parle de son implication dans ce que l’on vit et dans ce qui est en train de se jouer, on se fait automatiquement traiter de « conspirationniste ». Or, il n’est plus à démontrer qu’il tient financièrement l’OMS et plusieurs médias et qu’il en mène très large dans l’industrie du vaccin et dans la chaîne d’approvisionnement alimentaire. En ce qui me concerne, il est très inquiétant qu’un tel homme soit aussi tout-puissant.

Les camps Covid

Toujours cet été, des lanceurs d’alerte ont averti les gens que les gouvernements prépareraient des endroits pour interner des personnes suspectées d’avoir le coronavirus ou qui ne veulent pas se plier aux règles. Bien sûr, ils étaient traités de « conspirationnistes ». Aujourd’hui, ces endroits existent bel et bien pour les voyageurs et personne ne peut dire que c’est un hôtel cinq étoiles. Cela semble clairement être une forme d’emprisonnement sans l’appeler ainsi.

Le « vaccin » et ses effets secondaires graves

Les compagnies pharmaceutiques ont signé des ententes avec les gouvernements qui les dédouanent de tout blâme et de toute poursuite si jamais elles se plantaient dans la fabrication de leur vaccin ou s’il y a des effets secondaires graves et même des décès.

Pourquoi? Elles n’ont pas confiance en leur propre produit? Et pourquoi les gouvernements ont-ils accepté de signer ça?

Pour arriver à produire en quelques mois un vaccin contre un nouveau coronavirus, ils ont sauté des étapes. Les tests n’ont pas été aussi exhaustifs qu’ils auraient dû l’être. Les tentatives de créer un vaccin contre un coronavirus étaient des échecs depuis des décennies. Et on veut nous faire croire qu’ils y seraient arrivés avec plusieurs vaccins simultanément, tout juste après les élections américaines, et que ces vaccins seraient tous plus efficaces les uns que les autres? Pire encore : certains de ces vaccins comme celui de Pfizer et celui de Moderna utilisent des technologies à ARN messager jamais utilisées auparavant sur les êtres humains. Pfizer avoue elle-même ignorer si son « vaccin » est cancérigène ou s’il peut causer une lésion ou une mutation de l’ADN (la génotoxicité). Et les études sur la reproduction et la toxicité pour le développement chez l’animal ne sont pas terminées.

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Source : page 25 de ce document.

Ces vaccins se rapprochent beaucoup plus d’une thérapie génique que d’un vaccin traditionnel. Mais bon, Pfizer a tellement les mains propres (ici, ici et ici).

Vous êtes des rats de laboratoire, purement et simplement. C’est sûr qu’il va y avoir des effets secondaires importants.

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Source : page 16 de ce document.

Certains de ces effets secondaires seront identifiés rapidement, tandis que pour d’autres, ça prendra des années avant de le découvrir. Et les armées d’avocats de l’industrie pharmaceutique vont s’assurer que ça ne puisse jamais être lié aux vaccins. Ça pourrait être des maladies dégénératives qui apparaitront plus tard, une réaction grave lorsqu’exposé à un variant du virus, des malformations sur le fœtus ou même l’infertilité. Tout ça n’a pas été testé.

Des experts appellent même à mettre ça sur pause. D’autres experts remettent carrément en question le taux d’efficacité de ces « vaccins ». Les probabilités d’effets secondaires graves sont fortes et plusieurs décès sont déjà survenus (ici, ici, ici, ici, ici et ici). Mais bien sûr, quand on parle de ça, on est des « conspirationnistes qui ne croient pas en la science ».

Certaines personnes avancent que les premiers vaccins (du moins, certains de ces vaccins) ne seront que des placebos pour mieux faire accepter le principe de vaccination obligatoire (sans avoir de risque d’effets graves) qui deviendra plus tard saisonnier. Il s’agirait là d’une énorme rentrée d’argent récurrente pour l’industrie pharmaceutique et d’un contrôle total sur la population pour les gouvernements. Je ne suis pas complètement convaincu de cette partie-là, mais ça pourrait possiblement expliquer en partie pourquoi certaines personnes vaccinées attrapent le virus quand même par après.

La fraude électorale aux États-Unis

Comme beaucoup d’autres personnes, j’avais prédit que les démocrates allaient tricher massivement à l’élection présidentielle. Par contre, je n’aurais jamais pensé jusqu’à quel point. On a eu droit à l’élection présidentielle la plus sale et la plus viciée depuis celle de 1960. L’utilisation de l’excuse du coronavirus pour justifier le vote par correspondance (mère de toutes les fraudes possibles, impossibles, imaginables et inimaginables), le blocage des démocrates du projet de « Voter-ID » et les médias complices préparant le terrain en faisant croire à une lutte serrée étaient tous des indices.

Malgré le continuel matraquage médiatique contre lui, Donald Trump était très populaire et Joe Biden, le candidat mou, sénile et sans charisme, peinait à attirer les foules et à prononcer un discours cohérent. Qui plus est, plusieurs scandales de corruption et d’agression sexuelle lui collaient à la peau. Le combat semblait donc gagné d’avance. Et c’était le cas. Le soir du 3 novembre, Donald Trump a massivement gagné les élections.

Puis, au fur et à mesure que le temps avançait, on a commencé à voir des affaires louches dans les résultats, et ce, en direct. Quand Trump a signalé des apparences d’irrégularités, Twitter l’a immédiatement censuré. Censurer le président des États-Unis en pleine soirée électorale, il fallait quand même le faire et c’était du jamais vu.

Puis, vers 4h00 du matin, les chiffres ont commencé à changer comme par magie et à donner l’avance à Biden. La fraude était évidente et plein d’éléments, que ce soit des vidéos, des témoignages, des cas de bulletins de vote jetés ou carrément supprimés, des cas d’électeurs mineurs, centenaires ou carrément décédés, des anomalies statistiques et historiques (les comtés-baromètres qui étaient tous contredits, la Loi de Benford qui était contredite, etc.) et ainsi de suite, sont apparus dans les jours et les semaines qui ont suivi.

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En Géorgie, un expert en matière d’élections et de dénonciation de la fraude électorale a identifié plus de 1400 votes anticipés ou par correspondance de personnes dont l’adresse se trouve à être en réalité des entrepôts ou des bureaux de poste. Or, ces électeurs ont écrit un numéro d’appartement sur leur adresse.

Et je ne parle même pas du cas des machines Dominion dont on sait maintenant que ce sont des machines à frauder. Grâce à ces machines, le nombre de votes qui ont été trafiqués et volés à Donald Trump pour être donnés à Joe Biden (parfois même en direct) se chiffre en milliards. Et ces fraudes apparentes ont presque toutes eu lieu exactement là où ça comptait, c’est-à-dire dans les États-clés (Wisconsin, Pennsylvanie, Michigan, Géorgie, Arizona et Nevada) et avec exactement le nombre de bulletins de vote qu’il fallait pour changer le résultat.

C’était tellement évident que c’était certain que ça allait péter au visage des démocrates et redonner la victoire à Trump. J’étais sûr et certain que toutes ces preuves allaient confirmer la victoire de Trump et exposer les fraudes des criminels démocrates.

Cette fois-là, je me suis trompé. Des juges biaisés et corrompus ont refusé de recevoir les plaintes. D’autres juges ont refusé de recevoir les plaintes à la suite de menaces à leur endroit et à l’endroit de leur famille. Il n’y a aucune enquête sur les fraudes, malgré les preuves accablantes. Des États ont tenté des actions en justice contre ceux où ont eu lieu les fraudes et cela a également été bloqué. J’avais sous-estimé le niveau de corruption. Advenant que les démocrates parviennent à prendre le pouvoir de cette façon-là, ma pire crainte était qu’ils s’empresseraient illico d’effacer toutes les preuves et toutes les traces de leur méfait afin de pouvoir tricher à la prochaine élection présidentielle en 2024 et même aux élections de mi-mandat en 2022. Eh bien, c’est déjà fait. Ils ont modifié les règles pour permettre encore plus de votes par correspondance. Et il est maintenant illégal d’exiger une preuve d’identité pour voter.

J’en entends gueuler ce qui suit : « Des lois obligatoires sur l’identification des électeurs rendraient le vote plus difficile pour les gens. »

Ouin pis? Un électeur identifié garanti que le vote qu’il émet est légitime. Chaque bulletin de vote illégal exclut un électeur légal. N’en déplaise à la gauche boutonneuse et à appareil dentaire, l’intégrité électorale est beaucoup plus sacrée qu’un accès facile au vote. Que vaut le vote de tous et chacun si n’importe qui peut voter, même ceux qui n’en ont, en principe, pas le droit? Et c’est quelqu’un qui a été scrutateur à plusieurs élections (municipales, provinciales et fédérales) qui le dit.

Et à cause de ces fraudes électorales massives, vous n’entendrez certainement plus jamais parler du scandale de corruption impliquant Joe Biden et son fils, ni du contenu de l’ordinateur portable d’Anthony Weiner (qui contenait des preuves accablantes contre Hillary Clinton), ni du Obamagate (même si Trump l’a déclassifié juste avant de partir). Les démocrates feront tout pour cacher ces scandales. France-Soir a réalisé un bon dossier sur les fraudes électorales aux États-Unis ici et ici.

La complicité des GAFAM

Ça fait des années qu’on dit que les GAFAM sont très biaisés. Les preuves abondent pour démontrer le bannissement, le « shadow banning », la démonétisation, la diminution du nombre d’abonnés et la censure de tout ce qui n’est pas de ce que j’appelle la gauche boutonneuse et à appareil dentaire. Durant la campagne électorale, Twitter et Facebook ont tout fait pour empêcher les internautes de partager les articles du New York Post sur l’Affaire Hunter Biden (ici et ici), en plus de bloquer le compte du New York Post pendant des semaines. Suite à la fraude électorale, à chaque commentaire de Donald Trump ou de n’importe qui osant partager une information à propos de ce sujet ou même osant en parler, Twitter et Facebook inscrivaient que Joe Biden était confirmé gagnant et que le système électoral était sans faille. Mais, de qui se moque-t-on ici?

Certaines publications ont été censurées et certains comptes ont été bannis pour avoir osé en parler. Parce que bien sûr, si on soulève des exemples de fraude qui remettent en question le résultat de l’élection, on est des « conspirationnistes ». Pourtant, pendant quatre ans, les médias et les démocrates ont dit qu’il y avait eu une ingérence des Russes dans l’élection de 2016, une théorie du complot qui a été démontrée fausse. Personne n’a été banni et personne n’a été censuré pour avoir propagé ces mensonges pendant quatre ans.

Je m’arrêterai là pour aujourd’hui. Dans mon prochain article, je présenterai d’autres exemples détaillés, ainsi que la conclusion. Je sais que je devais le faire dans cet article-ci mais j’ai trop d’éléments à présenter et à détailler. Alors, ça se fera dans mon prochain article.

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