Passeport vaccinal : le « nouveau monde » se met en place

Passeport vaccinal: où est-il instauré ailleurs dans le monde?

Le glissement vers un fonctionnement autoritaire mis en place par la mafia macronienne en France a inspiré le gouvernement caquiste au Québec. Ce fonctionnement autoritaire et les tendances dictatoriales qui reposent sur ce mépris profond pour le peuple français et le peuple québécois sont des choses inscrites depuis longtemps dans les sociétés françaises quant à leur fonctionnement politique. Comme je l’ai déjà dit, la France n’a jamais été un État de droit, c’est-à-dire qu’elle n’a jamais été une société où ce qui règne et ce qui gouverne le pays est le droit naturel imprescriptible des êtres humains, droits consubstantiels au fait qu’ils sont des êtres humains, droits placés au-dessus de tout, y compris au-dessus du gouvernement. Et comme le Québec aime copier la France, il a copié ce type de fonctionnement.

En France, le principe a toujours été « ce qu’une loi a fait, une autre loi peut le défaire ». Ce principe était déjà présent dans la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789. Déjà à cette époque-là en France, Thomas Jefferson (qui a été l’un des premiers ambassadeurs des États-Unis en France) a essayé d’annuler la tangente que prenait ce pays mais il n’a pas réussi à le faire complètement. La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789 est un texte qui ne garanti aucunement les droits. Même si elle est rattachée à la Constitution de la Ve République, ça ne change strictement rien. Dans ce texte, vous avez des droits qui sont définis et immédiatement après, dans la même phrase, vous avez (en général) le mot « sauf ». Et après le mot « sauf », il est dit « dans les limites prescrites par la loi ».

Autrement dit, un droit est affirmé mais on ajoute immédiatement que ce droit peut être limité, voire aboli, par la loi. En terme juridique, ça s’appelle du légicentrisme, c’est-à-dire que tout repose sur la loi qui peut être votée par un Parlement ou qui peut être décidée par décret par un président. Et il n’y a aucun garde-fou par rapport à ce qui peut être décidé. Donc, aucun garde-fou ne peut permettre de limiter ce qui a été décidé. Donc, toutes les décisions prises par la mafia macronienne en France, que ce soit pendant la crise des gilets jaunes ou pendant la crise actuelle, sont des décisions qui ne sont pas illégales (puisque tout peut être décidé légalement par ce que je viens de dire).

Comme le Québec aime copier la France, il a copié ce type de fonctionnement, disais-je. Si la Loi sur l’état d’urgence sanitaire permet de passer outre certains garde-fous et d’en tenir d’autres en respect, le problème est beaucoup plus profond que ça. La pensée québécoise a toujours été davantage portée sur le rationalisme cartésien comme en France plutôt que sur l’empirisme lockéen dans le monde anglo-saxon. La Charte des droits et libertés du Québec repose beaucoup plus sur l’empirisme (et la Charte canadienne est encore plus empiriste que la Charte québécoise). Malgré l’existence de cette Charte, le Québec a violé impunément des droits fondamentaux au cours des dernières années, notamment en 2011 avec la Loi 204 (qui violait le droit à la justice), en 2012 avec la Loi 78 (qui violait le droit de manifester) et en 2020 avec la Loi 61 (même si elle a été un peu diluée devant le tollé qu’elle a suscité, il n’empêche pas moins qu’elle viole les lois environnementales, les lois sur l’éthique publique et met en péril le droit de propriété).

L’atteinte des droits les plus fondamentaux n’est donc pas quelque chose de nouveau au Québec. Sauf que c’est la première fois qu’on viole les droits les plus fondamentaux (liberté de circuler, libre accès aux commerces, libre accès à des services et probablement la liberté de travailler et l’accessibilité à l’éducation et aux soins de santé, ce qui serait une « long shot », mais on ne sait jamais avec ce genre de « power trip ») au nom de la peur de quelques-uns. Parce qu’il s’agit bel et bien de peur. La peur-panique irrationnelle causée par le coronavirus de Wuhan et l’hystérie médiatique est donc toujours en cause ici.

Au Québec, le passeport vaccinal entre en totale contradiction avec les articles no. 11 et 15 de la Charte des droits et libertés et avec les articles no. 10 et 11 du Code civil, notamment. Sans compter le fait que le code QR des vaccinés (qui renferme des données personnelles comme le nom de la personne, sa date de naissance, le type de « vaccin » inoculé, le nombre de doses, ainsi que les dates et lieux d’injection) est facilement piratable et donc propice à la fraude et inquiète des experts en cybersécurité. Autrement dit, les données médicales des vaccinés (qui étaient autrefois des données partagées uniquement entre un patient et son médecin) deviennent publiques et la serveuse du Normandin (par exemple) y aura accès.

Alors que presque partout dans le monde, les gens vivent leur vie tranquillement et normalement, la France et le Québec font figure d’incompréhensibles cas d’exception avec peut-être le Manitoba, la ville de New York, le Royaume-Uni (et encore, seulement pour les grands événements, pas pour la vie en société, et des artistes comme Eric Clapton ont annoncé qu’ils refuseraient de se produire devant un public discriminé) et Israël (qui a remis en place le « Green Pass » après l’avoir aboli). Quant à l’Union européenne, elle a bien mis en place un passeport vaccinal pour les voyages, pas pour la vie en société. Malgré tout, ça contrevient à certains traités européens. Jusqu’à nouvel ordre, la France, le Québec, le Manitoba (l’ironie veut qu’on y retrouve le Musée canadien pour les droits de la personne), la ville de New York et Israël sont les seules juridictions qui utilisent le passeport vaccinal de façon aussi large au point où les gens doivent avoir un code QR sur eux pour pouvoir aller souper au restaurant. Et les moutons trouvent ça bien normal.

C’est du rationalisme cartésien dans sa forme la plus pure et ça démontre que le Québec, comme la France, ne sait pas du tout ce qu’est un État de droit et n’a aucune connaissance ni aucune compréhension de ce qu’est le droit naturel. En cela, il est légitime de dire que René Descartes est le philosophe qui aura le plus fait de torts à l’Humanité. Le rationalisme cartésien est la source de tous les totalitarismes. Il ne faut jamais l’oublier. Macron et Legault (notamment) nous en fournissent aujourd’hui une belle preuve. Je ne referai pas l’Histoire du droit naturel, de l’empirisme et du rationalisme puisque je l’ai fait l’année dernière. Je vous invite donc à lire ou à relire mes articles sur ces sujets (ici, ici et ici).

C’est la première fois qu’on viole les droits les plus fondamentaux au nom de la peur de quelques-uns, disais-je. C’est effectivement le cas. Quoique peuvent en dire les moutons, ce qui nous pend au nez est bel et bien un apartheid techno-sanitaire : les bons (les vaccinés) d’un côté et les mauvais (les non-vaccinés) de l’autre. Alors que des traitements existent et démontrent jour après jour des résultats probants, on préfère créer deux classes de citoyens.

Ici, je me permets de citer quelques extraits de ce brillant texte de Guy Millière. Il parle de la France et de Macron mais il pourrait tout aussi bien parler du Québec et de Legault.

« En décrétant que les personnes non-vaccinées ne pourront plus prendre l’avion, le train, les transports en commun, ne pourront plus aller au restaurant, au café, dans un commerce ou un supermarché et ne pourront pas non plus aller au cinéma, au concert ou au théâtre, il les transforme en parias et en pestiférés et leur laisse juste le droit d’être chez-eux et de respirer, pour le moment. En faisant du passeport vaccinal un document à présenter sans cesse à chaque instant, il fait de la France un pays de surveillance et de contrôle permanent digne de la Chine communiste. Il prétend suivre la science : il lui a tourné le dos depuis l’interdiction de l’hydroxychloroquine. »

« Les vaccins en sont au stade expérimental. Ils peuvent avoir des effets secondaires graves chez certaines personnes. Ils n’ont pas encore une autorisation de mise sur le marché pleine et entière. C’est pourquoi il n’est juridiquement pas possible de les rendre obligatoires. Les administrer devrait relever d’un calcul coût-avantage reposant sur la responsabilité et la liberté individuelle. Les personnes à risque élevé devraient être incitées à se faire vacciner, mais elles devraient garder la liberté de choisir, après qu’il leur soit dit qu’être non-vaccinées et tomber malade peut les conduire à la mort. Les personnes à risque très faible ou nul ne devraient pas se voir dire qu’elles doivent se faire vacciner, parce qu’elles ne courent aucun ou quasiment aucun risque, sauf si elles le souhaitent. Une personne vaccinée est censée être protégée (c’est le rôle d’un vaccin). Une personne non-vaccinée est une personne qui, selon la logique vaccinale, ne peut contaminer que les personnes non-vaccinées, qui ont fait le choix d’être non-vaccinées et qui ont pris leurs risques. Obliger à se faire vacciner avec un vaccin expérimental est contraindre toute une population à prendre le risque de se voir administrer un vaccin expérimental. C’est de la coercition arbitraire. Faire des non-vaccinés des parias, c’est rajouter de l’arbitraire à l’arbitraire, d’autant plus que les vaccinés sont censés être protégés. L’arbitraire est d’autant plus arbitraire que des médicaments existent et ont montré leur efficacité (ce qu’on s’efforce de cacher). »

« Les passeports vaccinaux s’ajoutant à l’obligation de fait de se faire vacciner font d’un pays un pays à régime policier. Les Français devaient avoir sans cesse leurs papiers d’identité sur eux et pouvaient être contrôlés à chaque instant, sans motif. Ils étaient déjà soumis à une présomption de culpabilité inadmissible dans un État de droit. Est venu ensuite le temps des ausweis. Macron entend faire passer les Français sous ausweis permanent. »

Tout est dit. Un « vaccin » en AMM conditionnelle ne devrait pas être imposé de force. Il leur manque plusieurs études, notamment sur la caractérisation de la substance active et du produit fini et la qualité du produit, pour qu’ils soient considérés sécuritaires et bien testés. Présentement, on est en phase 3, et ce, jusqu’en 2022-2023-2024.

Qui plus est, le « vaccin » perd drastiquement de son efficacité. Pfizer avoue dans une étude que l’efficacité de son « vaccin » diminue de 6% à tous les deux mois. On passe donc de 95% à 83,7%.

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Sauf que selon le Ministère de la Santé d’Israël, l’efficacité passe de 95% à 39%. On constate une baisse de 25% en seulement deux semaines, ce qui contredit l’étude de Pfizer. L’efficacité de ce « vaccin » est donc inférieure à celle d’une infection naturelle. Selon le Lancet lui-même, l’efficacité de l’infection naturelle contre la réinfection est de 95%. Il n’y a aucune diminution de l’immunité protectrice contre la réinfection sur une période de plus de sept mois. Bref, l’immunité naturelle est bien meilleure et reste constante, contrairement à celle du « vaccin » qui ne cesse de diminuer.

Qui plus est, l’efficacité de 95% des « vaccins » avec laquelle nous serinent les médias n’est que relative. La FDA recommande aussi de communiquer l’efficacité absolue des « vaccins » afin de ne pas influencer abusivement les patients et les médecins.

Voici l’efficacité absolue des « vaccins » salvateurs.

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Source

Le Lancet s’est également penché sur la différence entre l’efficacité relative et l’efficacité absolue.

Bien évidemment, il faudra y revenir car tout ça est très loin d’être terminé.

À l’image de Mathieu Bock-Côté, je dois dire que je me sens de plus en plus étranger en mon époque.

« C’est juste un masque. Porte-le et ferme ta gueule. »

« C’est juste pour aplatir la courbe. »

« C’est juste pour 28 jours. »

« C’est juste un vaccin. »

« C’est juste un code QR. »

Je dirais que c’est juste le « nouveau monde ». En quoi cela peut-il être un problème?

« On dirait que l’ancien monde finit et que le nouveau commence, écrivait Chateaubriand dans son livre « Mémoires d’outre-tombe » et que cite Mathieu Bock-Côté dans son article. Je vois les reflets d’une aurore dont je ne verrai pas se lever le Soleil. Il ne me reste qu’à m’asseoir au bord de ma fosse ; après quoi, je descendrai hardiment, le crucifix à la main, dans l’éternité. »

Ce que font Macron et Legault est odieux mais ne nous y trompons pas : tout ça fait partie d’un ensemble. Tout ce que nous vivons depuis 18 mois fait partie d’un ensemble.                           

Si vous regardez votre vie d’il y a 18 mois et si vous regardez votre vie maintenant (autant sur le plan personnel que sur l’ensemble de la planète), vous pouvez voir que bien des choses ont changé. Vous pouvez voir que la guerre biologique et psychologique déclenchée par la Chine est une guerre qui a remporté des victoires immenses. Toutes les décisions que prennent les gouvernements occidentaux comme celui du Québec ou la mafia macronienne en France sont des victoires pour la Chine communiste. Aux États-Unis, l’arrivée au pouvoir de Joe Biden et le renversement de Donald Trump sont des victoires pour la Chine communiste. La transformation du Proche-Orient (avec le renversement de Benyamin Netanyahou en Israël et son remplacement par une coalition disparate, la possibilité maintenant renouvelée pour l’Iran de devenir la puissance hégémonique de la région et les menaces extrêmes que ça implique pour Israël) est une victoire pour la Chine communiste. Et la Chine est maintenant l’alliée primordiale de l’Iran au Proche-Orient.

Il y a d’autres victoires qui se dessinent un petit peu partout sur la surface de la planète et ce ne sont pas simplement des victoires de la Chine communiste mais également des victoires de ses alliées comme l’Iran mais aussi (si vous regardez les choses de près) la Russie. Je continue à trouver très étrange l’aveuglement de certains vis-à-vis de la Russie. Si la Russie avait voulu devenir une démocratie et s’intégrer au monde occidental, elle aurait très bien pu le faire. Vladimir Poutine a choisi une autre voie et cette voie, c’est l’alliance avec l’Iran et la Chine. Vous avez vraiment un mouvement planétaire. La Chine n’est pas la seule à être sortie victorieuse de la crise actuelle. Et ce qui se trouve à être en position défensive et ce qui risque de se retrouver vaincue, c’est la liberté et la démocratie sur Terre. Et ça, on ne le dit quasiment jamais. On se réfugie derrière le prétexte du coronavirus de Wuhan pour accepter toutes les décisions destructrices et liberticides. On vous dit qu’on supprime vos libertés, qu’on vous rend plus pauvres et qu’on détruit vos économies, mais que c’est pour votre sécurité sanitaire. Derrière ce prétexte, il y a ce que l’on a appelé à Davos le « Grand Reset », ou la grande réinitialisation.

Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire, l’un des slogans du « Grand Reset », c’est « Build Back Better », soit reconstruire en mieux. Or, pour pouvoir reconstruire en mieux, il faut d’abord détruire. Nous sommes dans la phase de la destruction qui se poursuit mais aussi dans un commencement de reconstruction. Reconstruire en mieux, c’est reconstruire un monde qui aurait des apparentements avec un fonctionnement de type communiste. Ce n’est pas un hasard si Xi Jinping a été reçu plusieurs fois comme un prophète à Davos. Ce que ces gens tentent de mettre en place, c’est une forme de gouvernement mondial et de mafia mondiale qui réduirait les démocraties à des simulacres et les populations à des plèbes soumises. Ça ne veut pas dire que les plèbes arrêteraient de produire. Ça veut dire qu’elles seraient plus contrôlées, plus surveillées et qu’elles auraient beaucoup moins de libertés. Le coronavirus fournit un excellent prétexte pour mettre en place un tel fonctionnement.

Pour que ce fonctionnement se mette en place, il fallait disposer du pouvoir aux États-Unis. Le slogan de la campagne électorale menée au nom de Joe Biden était justement « Build Back Better ». Les démocrates ont très largement fait pour détruire aux États-Unis pendant l’année 2020. Ils ont renversé Donald Trump par la fraude. Ils ont organisé des émeutes. On voit qu’ils tiennent de plus en plus l’État profond et l’armée aux États-Unis. Pour le moment, aujourd’hui, les États-Unis sont absolument méconnaissables par rapport à ce qu’ils étaient il y a 18 mois ou même deux ans, soit avant le coronavirus et les émeutes. Et si les États-Unis semblent avoir recouvré leur liberté, c’est grâce à des gouverneurs républicains comme Ron DeSantis en Floride et Greg Abbott au Texas. Si rien n’arrête le processus, nous pouvons passer dans un fonctionnement voulu par les tenants de la grande réinitialisation mondiale, soit dans ce qui serait une dictature et une mafia mondiale.

Au cœur de ce qui s’est passé, il y a la façon dont non seulement le coronavirus s’est diffusé mais également la peur-panique irrationnelle qui a été diffusée par rapport au coronavirus. Maintenant, on a les chiffres et on voit bien que ce virus ne touche qu’une certaine catégorie de personnes (les gens âgés et les gens souffrant de comorbidités) et qu’il a fait très peu de morts (0,05% de morts au niveau mondial). On voit aussi que beaucoup de décisions qui ont prétendument été prises pour lutter contre le coronavirus (confinement, couvre-feu, fermeture des commerces, obligation du port du masque) ont été inutiles et délétères. On voit que des traitements existent et qu’ils sont efficaces (vitamine C, vitamine D, zinc, magnésium, hydroxychloroquine, azithomycine, Ivermectine, budésonide, Artemisia annua, Dexaméthasone et Regeneron), surtout s’ils sont administrés au stade précoce de la maladie. On voit que tout a été fait pour écarter ces traitements et pour que vienne l’heure des « vaccins ».

Donald Trump a mis en place l’Opération Warp Speed pour accélérer l’arrivée de vaccins parce qu’il a voulu éviter un cataclysme mondial et parce qu’il n’avait plus le choix. Maintenant, les « vaccins » (qui sont en réalité des thérapies géniques expérimentales puisque, pour arriver dans les délais, les pharmaceutiques ont sauté des étapes : ici et ici) sont utilisés comme des moyens pour avancer vers la destruction de la liberté et vers la mise en place du contrôle généralisé des populations. Comme dit plus haut, les passeports vaccinaux se mettent déjà en place en France et au Québec, notamment. On a écarté délibérément des traitements qui soignent. On a créé une peur-panique irrationnelle avec le coronavirus. Et tout ça a abouti à la destruction économique et à la soumission des populations. C’est exactement ce que veulent les gens qui sont à l’origine de la grande réinitialisation.

La seule possibilité d’arrêter ce processus, c’est que les républicains trumpistes aux États-Unis reprennent le contrôle du Congrès aux élections de mi-mandat de 2022 et que Donald Trump revienne au pouvoir en 2024 (ou que quelqu’un comme Ron DeSantis soit élu président des États-Unis). Si ça ne se produit pas, je dirais que l’avenir sera extrêmement sombre. Et si vous voulez comprendre pourquoi on continue à avoir dans les médias des attaques répugnantes contre Donald Trump, vous avez l’explication dans ce que je viens de dire. Donald Trump et les républicains trumpistes sont les obstacles majeurs. C’est la même chose avec les attaques répugnantes contre des gens comme Martine Wonner, François Asselineau, Florian Philippot et Nicolas Dupont-Aignan en France ou encore Maxime Bernier et Éric Duhaime au Québec. Ces gens représentent des obstacles majeurs dans leur pays respectif. Bien qu’ils ne soient pas des obstacles aussi majeurs que Donald Trump et les républicains trumpistes à l’échelle mondiale, ils représentent néanmoins des obstacles locaux. Si ces obstacles sont totalement éliminés, le « Grand Reset » viendra déferler totalement sur le monde. Et nous vivrons dans un monde très différent. Nous vivons d’ores et déjà dans un monde très différent de ce qu’il était il y a 18 mois. Mais je dirais que ce n’est rien à côté du monde dans lequel nous vivrons dans quelques années si rien n’arrête ce qui est en train de se mettre en place.

« L’homme trouve sa grandeur en se battant pour des choses qui le dépassent, écrit Mathieu Bock-Côté, et une existence vouée au service d’une cause noble, même si elle semble vaincue au premier regard, vaudra toujours mieux que mille compromissions avec une époque qui avilit l’âme en plus de nous transformer en larves et en robots. »

Je reviendrai sur tous ces sujets, comme je devrai bien revenir (comme je m’étais engagé à le faire) sur des points du « Grand Reset » comme le revenu minimum garanti, le droit de possession et le droit de propriété. Pour l’instant, c’est ce que j’avais à dire pour aujourd’hui. Je vous souhaite la meilleure des chances dans le contexte actuel.

Gardez le sourire.

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