Ma personnalité de l’année 2021 à l’international est Ron DeSantis, le gouverneur de la Floride. La raison est bien simple : il a résisté contre la tyrannie techno-sanitaire et presque toute l’année a tourné autour de lui. Les stupides médias de Québecor sont même allés faire un tour en Floride cette semaine. Espérons qu’ils auront pris des notes.
En résistant à la tyrannie techno-sanitaire, Ron DeSantis s’est forgé une aura nationale et internationale qui pourrait le servir en 2024 si jamais il décidait de briguer l’investiture républicaine. Il est sans conteste devenu l’opposition officielle de Joe Biden. Sans confinement, sans masque, sans fermeture des commerces, sans passeport vaccinal, il a réussi à maîtriser la « pandémie » de coronavirus en Floride et à avoir des chiffres qui feraient l’envie du Québec.
Grâce à Ron DeSantis, les Floridiens ont appris à vivre avec le coronavirus, peu importe le nouvel épisode épidémique, le nouveau variant ou la nouvelle dose. Cet homme a fait ce que tout chef de gouvernement responsable ferait dans ces circonstances : il s’est assuré de la capacité hospitalière pour traiter les personnes malades, tout en protégeant la liberté des autres. Ça lui permet de laisser le reste de la société fonctionner normalement.
Le professeur Christian Perronne n’a cessé de le répéter : on ne vient pas à bout d’une épidémie en mettant une société sous cloche mais bien en isolant les malades et en les traitant. Et Ron DeSantis permet les traitements qui marchent, comme les anticorps monoclonaux et (en autorisation compassionnelle) l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine. François Legault au Québec et Emmanuel Macron en France, notamment, font exactement le contraire et ils ont le bilan qui vient avec leur incurie. Pendant qu’au Québec et en France, on coupe des lits (ici, ici et ici), en Floride, les lits ne manquent pas.
Ron DeSantis ne joue pas dans l’imposture qui se joue actuellement. Je pense depuis maintenant plusieurs mois qu’il y a dans cette « pandémie » une dimension d’imposture, et ce, dans pratiquement tout ce qui s’est passé. Ça se confirme d’une manière de plus en plus nette. J’ai déjà donné plusieurs éléments, que ce soit sur Twitter ou ici, mais je vais en redonner quelques-uns. Ce qui est en train de se passer montre effectivement qu’il y a une dimension d’imposture dans la « pandémie » qui continue à perdurer et qui n’en finit pas de ne pas finir dans un certain nombre de pays, notamment au Québec et en France.
Il y a quelques semaines, les services de santé italiens ont publié des chiffres qu’ils n’avaient pas publiés auparavant. Et c’est la première fois que des chiffres sont publiés en Europe et qui indiquent la différence entre les personnes mortes jusqu’à présent du coronavirus de Wuhan et les personnes qui sont mortes avec le coronavirus de Wuhan. Ces chiffres donnent 97,1% des gens qui sont morts avec le coronavirus de Wuhan et 2,9% des gens qui sont morts du coronavirus de Wuhan. Ça signifie que le coronavirus a, dans certains cas, contribué à accélérer le décès de personnes qui étaient de toute façon dans un processus de décès (hélas pour elles) relativement proche. Ça indique que la létalité du coronavirus à proprement parler est bien moindre que celle qui a été indiquée sans cesse depuis maintenant presque deux ans.
Les chiffres concernant les hospitalisations en France ont été publiés au même moment et ils sont également accablants puisqu’ils montrent que pour toute l’année 2020, seulement 5% des gens ont été hospitalisés en réanimation (l’équivalent des soins intensifs en France) en raison du fait qu’ils étaient touchés par le coronavirus de Wuhan. Ces gens représentent 2% des hospitalisations pendant toute l’année 2020. Des chiffres du même genre avaient été publiés par le CDC aux États-Unis en août 2020. Ces chiffres disaient que 6% des décès étaient réellement dus au coronavirus de Wuhan. Les 94% restants sont morts parce qu’ils avaient des comorbidités. Comme le dit le professeur Christian Vélot, on a affaire à un virus qui ne fait que donner l’estocade finale chez les gens fragiles. Bien sûr, tous ces chiffres sont occultés mais ils montrent que la peur-panique irrationnelle n’a pas lieu d’être.
Ça renforce tout ce que je dis depuis plusieurs mois. Il y a eu une guerre biologique déclarée par la Chine au reste du monde. Je ne reviens pas là-dessus. C’est maintenant un fait avéré. Il y a eu une guerre psychologique qui s’est greffée dessus et qui a été lancée par l’OMS, qui est aux mains de la Chine et secondairement aux mains de l’industrie pharmaceutique, de la Fondation Bill-et-Melinda-Gates et de différentes organisations pro-vaccination qui ont été mises en place par Bill Gates. Se sont greffées sur les opérations de guerre biologique et de guerre psychologique des opérations politiques qui ont touché l’ensemble du monde occidental.
La principale opération politique qui a été lancée a été l’opération qui a visé à déstabiliser Donald Trump et à permettre son renversement par une élection frauduleuse (ici et ici) et par l’installation de l’Administration Biden, qui s’efforce de ravager les États-Unis en ce moment même. Mais je dirais que beaucoup de gouvernements occidentaux ont pris des mesures absolument excessives et complètement irrationnelles. Je dirais qu’il n’y a aucune raison d’avoir interdit et diabolisé l’hydroxychloroquine. Il n’y a aucune raison aujourd’hui de diaboliser l’Ivermectine. Ce sont des médicaments qui marchent et ne pas les avoir utilisés a eu des conséquences extrêmement graves, tout comme le fait d’avoir retirer aux médecins la liberté de prescrire.
Il n’y avait aucune raison de retirer la vitamine D dans les CHSLD du Québec pour empêcher les aînés de booster leur immunité.
Il n’y avait aucune raison d’utiliser la morphine et le Midazolam dans les CHSLD du Québec et le Rivotril dans les EHPAD en France pour euthanasier les personnes âgées.
Il n’y avait aucune raison de mettre en place un confinement des populations et une obligation du port du masque. Il n’y a aucune raison de mettre en place un couvre-feu comme ça a été le cas en France et au Québec. Il n’y a aucune raison de maintenir une forme d’état d’urgence sanitaire dans des pays comme la France et le Québec. Il n’y avait aucune raison de créer une forme d’obligation vaccinale déguisée avec le passeport vaccinal, quand elle n’était pas carrément directe, comme ce fut le cas avec les travailleurs de la santé. Et je dirais que cacher que les vaccins (même si ce n’est pas en grosse quantité) ont des effets secondaires importants et qu’ils sont loin d’être tous efficaces et fausser ainsi le calcul avantages-coûts des personnes qui peuvent envisager de se faire vacciner est très grave puisque ces personnes n’ont pas les données nécessaires pour procéder à un calcul avantages-coûts adéquat.
Et bien sûr, on cache sous le tapis les plus grands scandales scientifiques de toute cette crise : le Lancetgate et le Pfizergate.
Tout ça, tout ce qui s’est passé, a occasionné des dégâts immenses dans l’ensemble du monde occidental : dégâts économiques, dégâts sociaux, dégâts psychologiques. Il faudra des années pour réparer ces dégâts. Tout ce qui s’est passé est extrêmement suspect et demandera à être analysé d’une manière détaillée. Pour le moment, ce n’est pas fait. L’information n’existe pas. La désinformation règne en maître dans quasiment toutes les sociétés occidentales.
Aux États-Unis, il existe quelques chaînes de télévision comme Fox News, Newsmax et OANN. Ces chaînes de télévision font encore un travail d’information. Ce n’est pas le cas de toutes les autres chaînes d’information. Dans le contexte français, il y a extrêmement peu d’informations fiables, mis à part dreuz.info, RT France, Sputnik France, Europe-Israël, Sud-Radio et France-Soir. Au Québec, c’est encore pire car mis à part CHOI-FM, il n’y a quasiment rien. Il y a donc très peu de choses qui peuvent être dites dans le contexte français et québécois. Nous sommes vraiment sous le règne de la désinformation. C’est comme ça que s’installe toute dictature.
L’Histoire nous démontre que depuis des millénaires, l’Humanité est passée par des cycles de dictatures, de révolutions et d’époques prospères. Depuis toujours, l’Humanité ne réagit que quand elle est acculée au pied du mur. Les dictatures se sont presque toujours installées au nom du « bien commun ». Et les gens ont laissé faire, même quand ils voyaient le Mal s’installer, jusqu’à ce qu’il soit trop tard. L’être humain est ainsi fait : tant qu’il n’est pas en danger immédiat et tant qu’il n’est pas personnellement concerné, il n’agit pas.
La fameuse citation du pasteur Martin Niemöller est limpide : « Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai rien dit. Je n’étais pas Juif. Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit. Je n’étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit. Je n’étais pas syndicaliste. Puis, ils sont venus me chercher et il n’y avait plus personne pour protester. »
Ajoutez à ça la peur et vous avez la recette pour réussir à installer une dictature car quand les gens ont peur, ils sont prêts à sacrifier leurs libertés au nom de la sécurité. Ça explique pourquoi les dictatures passées ont réussi à s’installer et pourquoi il a fallu des révolutions pour réussir à les renverser. Une fois que la dictature est installée, il est impossible de revenir en-arrière sans une révolution.
Jamais une dictature en plein processus d’installation n’a été interrompue dans ce processus. Il a fallu qu’elle s’installe progressivement, à travers des manipulations, de la propagande, de la désinformation, des mensonges et des fausses promesses de sécurité. Il a aussi fallu que ça aille très mal avant que les gens finissent par se révolter et par renverser la dictature.
C’est la même chose qui se produit actuellement. Une dictature est en train de s’installer et la très grande majorité des gens ne dit rien et ne fait rien. Mais c’est par cette seule et unique façon que les gens vont apprendre et s’affranchir. Si par miracle, quelqu’un pourrait réussir à interrompre le processus d’installation d’une dictature, ça ne ferait que reporter l’échéance. Il faut que ça aille très mal pour que les gens réalisent à quel point ils sont dans le trouble et à quel point la liberté est importante pour qu’ils se révoltent et se réveillent enfin.
Malgré tout, les gens qui résistent sont les bienvenus et sont la lumière dans cette sinistre époque. Bref, parce qu’il est un résistant et parce qu’il contribue à faire de la Floride un îlot de liberté et de lumière, soulevant l’ire des wokes et des sanitaristes, Ron DeSantis est ma personnalité de l’année 2021 à l’international.
Politiquement incorrect 