Non, ce ne sont pas des vaccins

Vaccin contre la COVID-19 | Pfizer « très proche » d'une demande  d'autorisation | La Presse

D’entrée de jeu, je tiens à spécifier encore une fois que je ne suis pas un anti-vaccins. J’ai tous mes vaccins (sauf celui contre le H1N1 que je n’ai pas pris en 2009 parce qu’on ne m’avait pas convaincu que j’étais à risque) et je prends celui contre la grippe à chaque année. Je n’ai jamais été un anti-vaccins. J’ai toujours été un défenseur des vaccins quand ils sont faits dans de bonnes conditions et qu’ils ont prouvé leur efficacité, ce qui n’est malheureusement pas le cas actuellement.

Ceci étant précisé, commençons l’article en tant que tel.

Voici la définition du mot « vaccin » selon le dictionnaire Larousse : « Substance d’origine microbienne (microbes vivants atténués ou tués, substances solubles) qui, administrée à un individu ou à un animal, lui confère l’immunité à l’égard de l’infection déterminée par les microbes mêmes dont elle provient et parfois à l’égard d’autres infections. »

On parle ici du vaccin traditionnel qui injecte un virus désactivé ou affaiblit. Ainsi, le corps reconnaît l’intrus et fabrique sa réponse immunitaire en conséquence, soit les anticorps. On devient donc immunisé contre le virus puisque notre corps est préparé à le combattre si on entre en contact avec lui. Actuellement, il n’y a aucun vrai vaccin de ce genre qui soit disponible au Québec puisque le seul vrai vaccin est le Sinovac chinois et qu’il n’y est pas encore autorisé.

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Si les « vaccins » à adénovirus semblent inquiéter (en particulier celui d’AstraZeneca qui utilise notamment l’ADN du chimpanzé : ici et ici), ceux de Pfizer et de Moderna devraient eux-aussi inquiéter. Leur technologie utilise l’ARN messager qui, une fois injectée dans nos cellules, va programmer la cellule pour lui faire produire les anticorps, le tout sans utiliser la moindre parcelle du virus original.

Le « vaccin » à ARNm est une technologie expérimentale qui n’avait jamais été utilisée sur l’Homme auparavant. À l’origine, cette technologie a été développée par Moderna et elle devait servir à traiter certaines maladies comme le cancer. Depuis les années 1960, il y a eu des tests sur les animaux qui ont tous été des échecs. Une fois que l’animal vacciné était mis en contact avec le pathogène réel, ça causait généralement une réaction inflammatoire exagérée du système immunitaire appelée « Antibody Dependent Enhancement » (l’effet ADE). Malheureusement, cette réaction causait la mort. Alors non, ce n’est pas « nouveau » et ils ont sûrement pu améliorer la technologie depuis le temps. Mais, dire qu’il n’y a aucun risque est faux.

Le coronavirus de Wuhan a servi d’excuse à l’industrie pharmaceutique pour pousser cette technologie sur laquelle elle travaillait depuis des décennies. C’est pour cette raison qu’ils ont tenté par tous les moyens de bloquer les autres traitements possibles comme l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine jusqu’à ce qu’ils puissent arriver avec leur « vaccin » breveté qui va leur rapporter des centaines de milliards de dollars, contrairement aux autres traitements qui n’étaient plus sous brevets et qui ne leur rapportaient donc rien. En attendant, ils nous ont poussé un agent mutagène comme le Remdésivir pour s’enrichir au passage.

Alors, on peut sérieusement se demander si ce « vaccin » en est vraiment un. Ou alors, est-ce que c’est plutôt un traitement? Utiliser le terme « vaccin » devient automatiquement un symbole de sécurité et d’acceptation. Et il y a juste les « conspirationnistes » qui sont « anti-vaccins », non? Nos lois actuelles peuvent forcer quelqu’un à être vacciné. Mais, elles ne peuvent pas forcer un traitement médical.

« Ce n’est pas un vaccin, nous dit le Dr David Martin. Il s’agit d’un ARNm emballé dans une enveloppe de graisse et qui est délivré à une cellule. Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine à devenir un créateur de pathogènes. Ce n’est pas un vaccin. »

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Les vaccins sont définis précisément de façon légale selon les lois sur la santé publique.

« Immunité : protection contre une maladie infectieuse. Si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez y être exposé sans être infecté. »

« Vaccin : produit qui stimule le système immunitaire d’une personne à produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant la personne de cette maladie. Les vaccins sont généralement administrés par injection à l’aiguille, mais peuvent également être administrés par voie orale ou vaporisés dans le nez. »

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Or, il a été clairement expliqué par Pfizer et Moderna (et par plusieurs autres experts, y compris par des membres du Conseil scientifique en France et par Horacio Arruda lui-même au Québec) que ces « vaccins » n’empêchent pas d’être infecté, ni de transmettre le virus, ce qui est pourtant le cas avec les vaccins traditionnels.

Il ne s’agit donc pas d’un vaccin, ni selon la définition littéraire, ni selon la définition légale.

Ils l’ont appelé « vaccin » pour avoir la sympathie du public apeuré, pour montrer que c’est de la science intouchable et que tout le monde doit penser pareil et parce que les lois sur les vaccins sont différentes de celles des traitements médicaux. S’ils avaient présenté leur produit comme étant un traitement, les gens auraient pu comparer avec les autres traitements non-brevetés mentionnés précédemment. Aussi, en le présentant comme un vaccin, ça le positionne automatiquement du « bon » côté. Les vaccins sont l’une des avancées médicales les plus importantes. Et malgré qu’il y ait eu quelques histoires d’horreur, en général, il y a plus d’avantages que d’inconvénients à se faire vacciner quand ils sont bien testés. Alors, ils ont un avantage certain à utiliser le terme « vaccin » plutôt que le terme « traitement ».

Même le CDC aux États-Unis explique que ces vaccins n’empêchent pas d’attraper le virus (donc, il n’y a pas d’immunité) mais que ça empêche d’être très malade. Il dit aussi qu’il n’y a pas suffisamment d’informations pour savoir si ça limite la transmission. Pfizer dit elle-même que son « vaccin » n’empêche pas la transmission.

« Bien que les vaccins disponibles contre la COVID-19 aient démontré une efficacité élevée pour prévenir la COVID-19 sévère et/ou symptomatique, il existe actuellement peu d’informations sur la mesure dans laquelle les vaccins pourraient réduire la transmission et la durée de la protection. De plus, l’efficacité des vaccins contre les variants émergents du SARS-CoV-2 n’est pas connue. À ce stade, les personnes vaccinées doivent continuer à suivre les directives actuelles pour se protéger et protéger les autres, notamment en portant un masque, en restant à au moins 1,80 mètre des autres, en évitant les foules, en évitant les espaces mal ventilés, en couvrant la toux et les éternuements, en se lavant souvent les mains, en suivant les conseils de voyage des CDC et en suivant toute directive applicable sur le lieu de travail ou à l’école, y compris les directives relatives à l’utilisation de l’équipement de protection individuelle pour le dépistage du SARS-CoV-2. »

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Donc, si ça ne donne pas l’immunité et si ça n’empêche pas la transmission, ce ne sont pas des vaccins au sens légal du terme. Et si des avocats peuvent prouver que ce ne sont pas des vaccins au sens légal du terme, alors les lois pour forcer la vaccination ne s’appliquent pas à ce traitement médical qui ressemble plus à une thérapie génique qu’à un vaccin. Mais je suis certain que les législateurs doivent déjà être occupés à changer les définitions.

Qui plus est, les essais cliniques ne sont même pas terminés. Ils se termineront en 2022 et ceux de Pfizer se termineront en 2023. D’ici là, toutes les personnes qui se feront injecter ce « vaccin » est un cobaye, un rat de laboratoire, purement et simplement. Et le pire, c’est que ces personnes ne savent même pas qu’elles font partie d’un protocole de recherche. Le consentement n’est donc pas libre et éclairé ici. Voilà ce qui arrive quand on brûle les étapes par « urgence », le tout pour une grippe dont le taux de mortalité global est de 0,05%.

À lire absolument

Nature.com

L’Organisation mondiale de la santé

TrialSiteNews

IsraelNationalNews

L’hécatombe en Israël : ici et ici

Riposte laïque

Plainte relative aux vaccins

La lettre du Dr Geert Vanden Bossche, un virologue indépendant et un expert vaccinal qui a déjà travaillé chez GAVI et à la Fondation Bill-et-Melinda-Gates.

France-Soir

Politiquement incorrect

À écouter absolument

Entrevue de Paul Arcand avec le Dr Richard Marchand, un spécialiste en vaccination, microbiologiste et infectiologue de l’Institut de cardiologie de Montréal, et analyse de cette entrevue par Stéphane Guay, un microbiologiste à la retraite.

Entrevue de Stéphane Blais avec la Dre Alexandra Henrion-Caude.

Mise à jour du 21 mars 2021

Je rajoute également cette vidéo didactique très intéressante sur les différents types de vaccins contre le coronavirus réalisée par le Dr Christian Vélot, un généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et le président du Conseil scientifique du CRIIGEN. Voilà pourquoi il est préférable d’y aller avec des vaccins traditionnels à virus inactivé (Sinovac chinois) ou à protéine recombinante (Sanofi, Novavax, Medicago).

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